Témoignage sur la découverte du subespace sous le fouet (Histoire vraie)

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il y a 8 ans

Un témoignage 100 % réel qui s’appuie sur des échanges d’émail entre TSM et Taquine&Curieuse puis une rencontre BDSM hard.

Ci-dessous le compte-rendu de la soumise quelques jours après une séance de fouet particulière.

Témoignage publié avec l'autorisation de Taquine&Curieuse

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Taquine&Curieuse :

Tu me proposes de tester un nouveau fouet, comment pourrais-je dire non moi qui suis avide de diverses sensations...

Au départ, tu m’as proposée de me faire 2 marques pour que je garde un souvenir de ce week-end de folie. J'aime bien les marques, elles me rappellent ces moments intenses (entre autre ;) que je peux vivre alors je ne dis pas non.

Tu me chauffes un peu quand même avant, mais je pense que je n'aurai pas été contre un peu plus m'enfin je ne sais pas si l'objectif était que je sois prête, d'ailleurs tu m'as demandé si j'étais prête j'ai dis non il me semble, mais les coups sont quand même arrivés. Je suis si innocente et naïve que je ne me doute pas de l'épreuve que cela va être puisque ça part d'un jeu.

Le premier "passe" même si c'est très douloureux et que je réagis, cela me donne un bon aperçu de la suite, mais je peux gérer un deuxième, pour ça il faut que j'essaye de me concentrer. Comment expliquer ça ? Nous n’en avons pas discuté avant, je sais qu'il y a toujours les mots codes du saferword, mais je ne pense pas en avoir besoin. Tu commences à me connaître un peu, à connaître mes réactions enfin c'est pas compliqué quand j'en ai c'est que je marche sur le fils de ma limite de résistance.

Après les deux coups, je te fais remarquer que cela fait deux. Tu me dis oui, mais il n'y a pas de marque donc il faut qu'on continue en effet et moi folle je dis oui !

Pourquoi ? Parce que j'ai dit oui à deux marques et si elles n'y sont pas et bien oui on continue. Comment dire quand tu m'as dis ça je me suis quand même décomposée hein, parce que quand à cette puissance je n'en ai peut-être pas, bah la "peur" de la douleur, l'appréhension percute assez fortement l'esprit. Mais j'ai confiance, alors je prends sur moi. La fouettée se poursuit je ne pense plus aux deux marques qui doivent bien être là, je veux voir jusqu'où tu iras et jusqu'où j'irai.

J'ai déjà l'impression d'être à ma limite, rien que le fait que je bouge ou que je balance des trucs du style "Putain de bordel de merde" comment dire je perds toute contenance quand la douleur est trop forte ^^

Mais tu restes inflexible et moi je continue de te faire confiance. Je sais que tu n'iras pas trop loin bien sur, mais je me demande quand même quand tu estimeras que c'est bon parce que ça fait un mal de chien.

Je me retrouve pliée en deux sur le canapé, tu prends le temps de me "réconforter", mais tu finis irrémédiablement par me remettre en position et le pire, c'est que je ne pense pas à partir ! Je pense à dire stop ça oui, j'y pense en continu, mais c'est impossible je n'y arrive pas, j'attends. J'attends quoi ? Aucune idée.

La douleur est à retardement sur le coup je ne sens rien et d'un coup la douleur explose, je pleure, mais je continue. Pourquoi je continue? Je ne sais pas, il faut que je continue, je ne veux pas dire stop je veux que ça vienne de toi et je veux savoir ce que ça fait après ce stade.

Et puis d'un coup les coups s'enchaînent très vite, j'ai vraiment mal, je suis crispée et là plus rien ! Plus rien ! ! !

Je me détends d'un coup, tout va bien, je me sens bien ce n'est plus douloureux, je sens toujours le fouet, mais j'ai l'impression d'avoir dépassé ce stade de douleur que je pensais infranchissable. Comment cela pourrait-il être agréable de dépasser son seuil de douleur? Le mystère du BDSM ???

Comment puis-je aimer tomber à genoux sous la douleur et te savoir derrière qui continue de me fouetter ? C'est à la fois "terrifiant" et totalement grisant.

Je me souviens de ce moment où je suis à genoux, j'ai l'impression d'être au bout du bout, je m’assoies sur mes fesses mais tu veux que je me redresse. Je ne peux pas, je ne m'en sens pas la force, tu continues de me fouetter sur le coup je me dis que "je m'en fiche" je ne bougerai pas LOOL, précisions pas par révolte je ne pense pas en être capable c'est tout.

Un coup de fouet un peu plus appuyé et d'un coup je me redresse, je juge intelligent de ne pas me rasseoir et tu continues et je ne dis toujours pas stop pourtant le mot est au bord des lèvres, mais non, je ne le dirai pas.

Soudain tu t’arrêtes, tu me prends dans tes bras et me porte sur un lit où tu m’étends puis me couvre pour pas que j’ai froid. Tes mains toujours aussi respectueuses se font douces, câlines, de vraies caresses de « maman ».

Bien sûr là, un câlin s'impose après ça et je t'avoue que ça fait du bien. Tu prends ensuite le temps de me mettre de la crème et de me câliner. J'arrive donc à me calmer, à revenir sur terre. Je me dis que tu es complètement fou mais que moi aussi.

Tu me titilles sur l'expressivité en me disant "Pour quelqu'un de pas expressive tu l'as plutôt été" LOL sans dec ah oui, c'est sur, je pouvais pas vraiment faire autrement, tu m'as comment dire ? Tu m’as sortie de ma zone de confort à coup de fouet.

C'était fort, très fort comme expérience, et c'est probablement moi qui te le demanderai un jour, malgré la douleur, malgré la peur. Est ce que j'arriverai à ne pas craquer dès le premier coup qui me rappellera la douleur ? Aucune idée, je le saurai le moment venu si ça doit arriver. Oui c'est déjà une évolution j'avoue qu'après ça, je ne pensais pas recommencer xD.

Je crois que je suis en train de découvrir une autre "dimension" possible, plus dur physiquement, mais aussi psychologiquement, mais qui apporte aussi son lot de sensations fortes.

QUESTIONS REPONSE ENTRE Taquine&curieuse et TSM

Taquine&curieuse : Que cherchais tu à faire dans cette fouettée un peu particulière?

TSM Continuer de te faire découvrir des choses. Tu as donc découvert le subespace, traduction, le moment où la douleur n'est plus la même, le moment où l'on ne peut plus dire stop. Cela fait mal mais en même temps c'est bon, on a peur et en même temps c'est grisant. La tête pense autrement que le corps, c'est soudain différent. On peut détester la personne et sauter à son cou après.

Taquine&curieuse : Je ne sais pas si ça correspond au subspace, j'en attends plus encore du subspace dans ma tête ^^ Là j'étais dans une bulle qui fait qu'effectivement je ne ressentais plus la douleur et j'étais juste bien au moment où je me suis détendue et oui t'aurais pu continuer de fouetter tant que tu voulais, tant que j'étais dans cette bulle je n'avais pas mal.

TSM : Oui tu as découvert le subespace et tu le confirmes en disant : « tu aurais pu continuer de fouetter tant que tu voulais, tant que j'étais dans cette bulle je n'avais pas mal ».

Un point important à retenir. Il n'y a pas de honte à dire stop quand on n'arrive pas à entrer dans la bulle BDSM. Le but est avant tout le plaisir même s'il y a parfois de sérieuses et grisantes douleurs.

Taquine&curieuse et TSM

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